Enormissime confidence d'une condamnée : Comment j'exécutais mes victimes pendant l'acte sexuel


Je m'appelle Léa, j'ai 29 ans et je suis dans le couloir très sombre de la mort. C'est à l'âge de 12 ans que quatre gaillards m'ont obligé à perdre la virginité. A l'époque, l'histoire de mon viol collectif avait fait la Une de la presse à scandale. Les titres rivalisaient en obscénité : "Quatre mastodontes se vident sur une fillette de douze ans", "Les portes de l'innocence défoncées par quatre monstres", "Une fillette de 12 ans pénétrée puis jetée dans un ravin"...

Quand mes parents m'ont entraperçu entre les mains des chirurgiens dans la salle d'urgence, leur vie a basculé dans la haine et le dépit de presque tout. J'ai mis deux années pour me rétablir des blessures physiques subies lors de mon viol. Celles psychologiques resteront gravées dans mon subconscient jusqu'à mon dernier souffle de vie. Ce matin-là, alors que je revenais de l'école, quatre pervers sadiques et musclés ont créé le monstre que je suis devenue.
Après ma période de convalescence, je continuais à faire d'horribles cauchemars. Je me réveillais au milieu de la nuit en criant et en se tordant de douleur, comme si je me faisais violer à nouveau. Mes parents accouraient pour me calmer. J'imagine l'enfer qu'ils ont vécu toutes ces années avec moi. Devoir supporter la déchéance psychiatrique de sa propre fille est une épreuve presque impossible à surmonter pour un être humain normal. Mais ils ne m'ont jamais abandonné. Ils étaient toujours là quand les démons refaisaient surface dans la pénombre de la nuit pour troubler mon sommeil.

Ensuite, j'ai commencé à consulter une psychiatre. Une jeune femme d'une quarantaine d'années qui a presque réussi à m'extirper de mon douloureux passé. Nos séances ont beaucoup contribué à arrêter mes cauchemars. C'était un point positif qui satisfaisait bien mes parents. Ils étaient très soulagés de voir que je prenais à nouveau goût à la vie comme les enfants de mon âge. J'allais bientôt entrer dans mes 17 ans et il était temps pour moi d'oublier ce passé qui m'empêcher de vivre comme tout le monde.

Les quatre hommes, qui m'avaient détruite, purgeaient chacun une peine de 15 années de prison après leur arrestation. Je n'avais donc plus à avoir peur qu'ils resurgissent pour finir ce qu'ils ont entamé. A l'école et en classe, il m'était très difficile de passer inaperçu. Je sentais toujours les regards posés sur moi et les ragots racontés sur mon dos après mon passage. C'est ainsi que mes parents ont tout bonnement décidé de changer de ville pour m'éloigner davantage de ce cadre qui me rappelait tout le temps l'horreur que j'y ai vécue.

Je pouvais désormais vivre dans l'anonymat sans être perçue par mon entourage comme la fillette de 12 ans violée par quatre gros gaillards. Le seul regret que je pouvais avoir, c'était de ne plus voir ma psychiatre. Vu combien je me sentais bien, après une heure de discussion avec elle, nos séances allaient beaucoup me manquer, j'en étais sûre. Cette femme m'a appris à affronter mes cauchemars et les personnages qui perturbaient mon sommeil. Elle m'a même fait croire que je pouvais me défendre pendant le rêve avec des armes que je pouvais dicter à mon inconscient. Au début, tout ça était compliqué pour moi, mais des semaines plus tard, il m'arrivait de bien résister à l'un des violeurs voire même de lui trancher une partie du corps avec une lame... Bref, d'une manière assez sadique, j'arrivais à sortir vainqueur de mes troubles nocturnes. Et tout cela, grâce à la psychiatre.


J'allais à l'école et revenais chez moi dans le plus tranquille des mondes. Plus de chuchotements après mon passage, plus de regards curieux sur moi, ni de la moindre odeur de pitié autour de moi. La vie était devenue si monotone pour moi que je regrettais presque mon ancienne ville où j'étais tristement célèbre. Dans mon for intérieur, un désir, une pulsion brûlait à petite flamme et me réclamait de l'action. La nuit, j'avais le corps chaud et les nerfs qui palpitaient. Tous mes organes étaient très tendus et m'exigeaient la présence d'un homme brutal et sauvage. Je tentais de contrôler la pulsion, mais elle revenait toujours plus forte le lendemain. Après une semaine de lutte, je ne pouvais plus résister. J'ai alors commencé à repérer dans mon plus proche entourage le garçon de mon âge qui s'approchait le plus de ce que mon corps exigeait de moi.

Dans mon lycée, il y avait un groupe d'élèves assez bizarres qui se faisaient appeler "Les brutes". Leur chef de file avait été renvoyé de l'établissement à deux reprises pour s'être bagarré et surtout pour avoir blessé d'autres élèves. Il s'appelait Brice et il était en classe de Première S2. Il était toujours entouré d'au moins deux autres membres du groupe qui le suivaient comme son ombre. Il était donc difficile de l'accrocher, même en dehors du lycée.

J'ai alors écrit un mot, un jeudi matin, que je lui ai fait parvenir par l'intermédiaire d'une fille qui était dans la même classe que lui : "Si t'as vraiment quelque chose dans le pantalon, retrouve-moi dans les toilettes des filles trente minutes après le début des cours... Et viens seul. Léa"

A 8 heures 30 minutes, j'étais déjà dans les toilettes en train de l'attendre. Quand il a poussé la porte des toilettes, avec une arrogance sans pareil, j'ai failli me jeter sur lui. Mais je me suis retenue. Il a avancé d'un pas, puis a fermé la porte derrière lui. J'ai fait deux, puis trois pas vers lui. Il est resté scotcher à un mètre de la porte sans rien dire. J'ai pris les devants et me suis collait nez-à-nez avec lui avant de plonger ma main dans son pantalon.

- Est-ce que tu es assez sauvage pour être le chef des "Brutes" ?
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Ouais ! Mais pas maintenant. A une heure du matin, on se rencontre dans le bois qui se situe près du terrain de foot.
- C'est un piège ? Qui t'utilise pour me tendre une embuscade ?
- J'ai pas le temps pour satisfaire les besoins des autres. Les miens me suffisent...
- Et quels sont tes besoins à toi
- Ils sont de nature sauvage et purement sexuels. Mais il se pourrait que je me sois trompée de cible
- A quoi tu joues petite salope ?
Là, j'ai senti la chaleur de mon corps grimper de manière significative. J'ai alors serré très fort son sexe avec mes doigts avant qu'il ne me repousse très violemment.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Voilà l'homme que je cherche. Tu peux venir avec tes gardes du corps si tu veux, mais ne sois pas en retard.
J'ai claqué la porte des toilettes derrière Brice et je suis retournée en cours. J'étais sûre à 99,99% qu'il allait venir à l'heure convenue...

A suivre...

Par Autrui